Aujourd’hui, nous ne savons pas ce que nous consommons. Nous jugeons les produits de la nature par leurs couleurs et l’absence d’imperfections. Nous sommes guidés par une représentation du «naturel». En effet, de nombreux produits dangereux pour la santé et pour notre planète sont utilisés pour obtenir un rendu plus «naturel», un aspect plus «propre».
Est-ce vraiment nécessaire ? Notre regard est-il davantage séduit par l’artificiel, le beau, l’absence d’imperfections, au point de ne pas se rendre compte de la supercherie dans un premier temps ?